La question n'est pas de savoir s'il s'agit de cavaliers – c'est au Conseil constitutionnel d'en décider. La vraie question, c'est d'expliquer à nos concitoyens que nous n'avons pas d'espace pour bâtir les logements et les infrastructures dont ils ont besoin, car nous ne mettons pas les moyens nécessaires à la réhabilitation du foncier pollué. La vraie question, c'est de libérer du foncier pour répondre aux besoins d'une population en croissance qui grandit de 200 000 habitants par an, soit 800 par jour.