Monsieur le ministre, pourquoi n'avoir pas utilisé ce temps budgétaire pour réformer, comme l'ont évoqué certains rapporteurs, la dotation pour aléas ? Pourquoi attendre une grande réforme de la fiscalité agricole et pourquoi n'avoir pas dès cette année simplifié cette dotation ou facilité son emploi ? Elle pourrait être en effet une arme efficace pour lutter contre les crises de toutes natures.