Je tiens à vous dire, monsieur le ministre, la crainte que j'ai de voir les états généraux de l'alimentation aboutir à un pâté d'alouette : une importante masse financière consacrée à une nette orientation vers l'agriculture productiviste et une petite dose d'aide à l'agriculture alternative, ce qui permettra de dire que chacun est satisfait. Votre réponse m'inquiète tout autant, car les masses financières respectives que vous évoquez ne sont pas comparables.