Cet amendement vise à exclure du champ du don les produits de première nécessité qui ne sont pas propres à la consommation, faute d'assurer la sécurité du consommateur – les produits non conformes, périmés ou contrefaits.
La contrefaçon est un enjeu majeur en France. Il s'avère que certains produits contrefaits peuvent contenir du mercure, de la mort-aux-rats ou de l'urine.