Il est vrai que les informations diffusées par des associations au sujet d'événements locaux relèvent davantage de l'intérêt général que des publicités d'ordre commercial. J'aurais dû sous-amender mon propre amendement en le cantonnant au périmètre parisien. Sans doute aurais-je eu alors votre accord ; quoi qu'il en soit, je remonterai au créneau.
L'amendement no 394 concerne quant à lui le mobilier urbain. On trouve en effet des publicités collées ou scotchées, sous forme d'autocollants ou autres, sur les feux tricolores et les abribus, vantant par exemple des tapis d'orient. Elles polluent bien sûr visuellement, mais ont aussi un coût environnemental. Peut-être arriverai-je cette fois à me faire entendre au sujet de cette pollution qui abîme et induit, elle aussi, un coût pour la collectivité.