Lorsqu'on dit « 2022 », c'est du 1er janvier de cette année qu'il s'agit : le délai s'achèverait donc à la fin de l'année précédente. De plus, nous n'avons pas inventé le contenu de cet amendement, mais nous relayons les demandes d'une filière qui fonctionne bien. Avant de trancher arbitrairement pour 2022 plutôt que pour 2023, il serait judicieux de tenir compte des avis de ceux qui sont parvenus à collecter 100 % des huiles. S'ils étaient de mauvais élèves, on pourrait douter de la pertinence de leur jugement ; en l'espèce, je ne vois pas ce qui permettrait de penser qu'ils aient tort.