Je termine, madame la présidente.
En abaissant de manière généralisée les impôts, en particulier ceux des plus aisés, vous vous liez les mains pour pouvoir ensuite justifier le détricotage de l'État social et votre inaction climatique.
Au contraire, nous aurons à coeur, durant cette deuxième lecture, de proposer un projet donnant à l'État tous les moyens d'action dont il doit disposer pour relever les défis sociaux et écologiques auquel il doit faire face. Nous ne voterons bien entendu pas pour ce projet de budget.