Je rejoins les arguments développés par le président Woerth. Il me semble que, lorsque le propriétaire d'un château classé monument historique s'engage à l'ouvrir au public et crée de ce fait de l'activité dans des territoires qui en sont parfois bien dépourvus, on pourrait considérer, afin d'encourager ce type d'investissements, que le foncier concerné relève de la catégorie des outils de travail et mérite donc d'être exonéré.