Il vise à encourager l'émergence de la propulsion vélique, entièrement décarbonée, et à inciter les acteurs du transport maritime à y avoir recours.
Selon l'Organisation maritime internationale, les émissions de CO2 du transport maritime pourraient croître de 50 à 250 % et représenter jusqu'à 20 % des émissions mondiales à l'horizon 2050. Dans ce contexte, la propulsion par le vent, qu'elle soit principale ou auxiliaire, est la seule technologie immédiatement disponible et entièrement décarbonée susceptible de correspondre aux enjeux sanitaires, climatiques et de protection de la biodiversité.
Au sein d'un marché mondial en plein développement, la France, leader incontesté de la propulsion par le vent, a l'opportunité de mener une politique volontariste pour engager la transition écoénergétique du secteur.