Madame la députée, le secteur associatif compte, comme vous l'avez rappelé, 20 millions d'adhérents, 15 millions de bénévoles et 1,8 million de salariés, soit 10 % des emplois du secteur privé.
Consacrer par conséquent 50 millions d'euros – en tenant compte de l'amendement no 545 qui vient d'être adopté – au développement de la vie associative ne constitue donc certainement pas une gabegie d'argent public.
Au contraire, ces crédits témoignent de la reconnaissance de l'État pour un mouvement qui traduit quotidiennement l'engagement des citoyens au service du public et de l'intérêt général.