Monsieur le ministre, il ne s'agit pas d'ouvrir une quelconque boîte de Pandore. La mesure s'adresse à des commerçants volontaires, qui seront soumis à des contrôles stricts et à des obligations de comptabilité importantes pour éviter toute fraude. Au-delà des considérations économiques, j'insiste sur le fait que ce dispositif de zones de duty free est très encadré, à la fois limité dans le temps et circonscrit aux trois centres-villes de Pointe-à-Pitre, Basse-Terre et Fort-de-France. Cette disposition, promise depuis deux ans et soutenue par l'ensemble des parlementaires antillais, doit renforcer l'attractivité du secteur de la croisière et donner une nouvelle dynamique aux centres-villes, qui en ont bien besoin.