Bien qu'il n'y ait pas de croisiéristes en Guyane, je rejoindrai les propos de mes collègues de Martinique et de Guadeloupe ; il est essentiel d'entendre les revendications et les conseils émanant du terrain. Les territoires concernés traversent des difficultés, d'ordre économique notamment. Nous ne parvenons pas à y faire rester les jeunes, qui sont nombreux à émigrer dans le monde entier. Il faut donc entendre ce cri du coeur de nos collègues ce soir : la représentation nationale doit être en mesure de leur apporter une attention bienveillante et positive.