À mon tour de dire un mot sympathique à notre rapporteur général, avec qui j'ai parfois eu, ces dernières années, des relations un peu tendues lorsque j'essayais de lui expliquer les problématiques de la banlieue. Nos relations furent toujours passionnées : quand deux fortes personnalités se rencontrent, cela fait parfois des étincelles. Cette année, nous avons eu des relations un peu plus pacifiées ; c'est tant mieux et j'en suis très heureux. Et je n'oublierai jamais, monsieur le rapporteur général, votre fou rire – il y en a eu beaucoup – lorsque notre cher collègue de Courson est parti dans une folle intervention sur le COCO, le coefficient correcteur.