Non, madame la rapporteure, car la REP reste à construire et son champ est vaste. J'ai reçu hier un SMS des buralistes, qui nous disent : « Allez de l'avant, nous vous aiderons et travaillerons avec vous. » Je vous assure que je n'ai pas souffert de la pression des tabatiers en la matière et je souhaite que nous adoptions l'amendement par scrutin public afin de vous aider, madame la ministre, dans les discussions que nous aurons au mois de mars – je l'espère – concernant le fléau que représentent les mégots.