… et à les laisser nuire à l'environnement.
Madame la secrétaire d'État, vous évoquez le risque couru par les entreprises. Personnellement, je m'intéresse à toutes les entreprises qui sont prêtes pour la transition et qui, dans quinze jours, verront le marché sur lequel elles s'étaient positionnées disparaître. Vous parlez des arbres que l'on entend tomber ; je parle des arbres que l'on n'entend pas pousser. De très nombreuses entreprises proposent des innovations et des solutions alternatives aux objets dont nous discutons. Alors qu'elles se sont endettées pour participer à un marché ouvert par l'interdiction qui devait s'appliquer au 1er janvier 2020, on leur dit qu'elle est reportée au 1er janvier 2021 ?