Il vise également à interdire la commercialisation des lingettes non corporelles – qui, je le rappelle, représentent 35 % des déchets collectés dans les réseaux d'assainissement. Pendant longtemps, en effet, nous n'avons absolument pas eu besoin de ces lingettes pré-imbibées dont la production nécessite énormément d'eau. Il est donc temps de les interdire.
Madame la secrétaire d'État, l'un des moyens de faire face à l'urgence écologique est de faire face également à son corollaire qu'est l'urgence sociale.