Je ne comprends pas la réponse de Mme la rapporteure et de Mme la secrétaire d'État. L'amendement de notre collègue est de bon sens, et il fixe de surcroît une échéance, 2025, assez lointaine au regard de l'urgence de santé publique. Du fait de la contamination généralisée des perturbateurs endocriniens, la quantité de spermatozoïdes dans le sperme des hommes a diminué de 66 % en quarante ans et une femme sur dix est atteinte d'endométriose, pour ne prendre que ces deux exemples.
Je le répète : l'urgence de santé publique est réelle, et l'amendement, en dépit de l'échéance assez lointaine qu'il fixe, me semble de bon sens. Je le soutiens donc.