Voyez-vous, madame Panot, nous nous rejoignons très souvent. Je vous invite à lire l'article relatif à la consigne : vous verrez qu'il fixe les objectifs que j'ai indiqués ; raison pour laquelle, d'ailleurs, je me suis fait traiter de « vendue » – en tout cas du côté droit de l'hémicycle et non du vôtre, pour le coup.
Je le dis sous le contrôle du président de l'Association des petites villes de France, votre collègue Christophe Bouillon, ici présent : nous allons diviser par deux le nombre de bouteilles en plastique mises sur le marché, ce qui représente, je le répète, 7 milliards de bouteilles en moins chaque année. Et ces 7 milliards incluent les 17 % de bouteilles de 50 centilitres, qui sont donc elles aussi vouées à disparaître du marché.