Madame la rapporteure, je ne suis pas certaine que le ton avec lequel vous avez répondu soit approprié. Nous débattons pour apporter de la valeur ajoutée et de la plus-value au texte.
Aujourd'hui, l'Institut national de la recherche agronomique – INRA – et l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail – ANSES – , ainsi que d'autres organismes, nous indiquent qu'aucune analyse n'a mis en évidence que les boues d'épuration représentaient un danger sanitaire. En revanche, nous produisons des millions de tonnes de boues d'épuration, constituées du reste des eaux usées une fois traitées.