J'ai cosigné avec la ministre du travail un courrier pour que les contrats aidés soient fléchés sur les quartiers prioritaires de la ville. Nous avons pris les engagements nécessaires et nous menons la politique qui convient, parce que nous sommes conscients des difficultés que connaissent ces quartiers. Mais ces difficultés n'existent pas depuis quatre mois : elles sont la conséquence de décennies au cours desquelles, malheureusement, certains territoires de ce pays ont été trop oubliés.