Je tiens tout d'abord à adresser toute ma reconnaissance au collègue François-Michel Lambert pour le soutien explicite qu'il a exprimé sur le précédent amendement.
Je propose cette fois un amendement de repli par rapport à celui qui a été rejeté.
Madame la secrétaire d'État et madame la rapporteure, j'ai l'impression que nous vivons dans deux mondes parallèles et que vous ne comprenez pas ce que je suis en train de vous expliquer. Maintenir la situation en l'état revient à laisser ouverte une brèche dans laquelle certains s'engouffreront allègrement pour empêcher tout projet. Si vous ne voulez pas que la Guyane progresse et que l'on puisse installer sur ce territoire – recouvert à 96 % de forêt vierge, je le répète – les équipements dont la population a besoin pour se développer, il faut nous le dire et justifier clairement votre choix. Au moins, les choses seront claires !