J'entends un collègue dire qu'il ne faudrait pas passer la nuit sur cet amendement. Certes, mais nous prendrons le temps qu'il faudra. Des jeunes se suicident en Guyane, ce territoire qui est le mien. Nous ne sommes pas capables d'interdire aux jeunes de se suicider ni d'empêcher ceux qui empoisonnent nos rivières de commettre leurs méfaits ; nous prendrons donc tout le temps nécessaire.
On ne peut pas me demander de contacter tous les rapporteurs pour leur expliquer la situation : tout est écrit dans l'amendement et j'ai tout expliqué lors de mon intervention.