Le no 231 est défendu. Quant au no 232, il recommande la rédaction d'un rapport permettant de savoir si la variation du taux d'octroi de mer est une prérogative locale. Ce rapport déterminera les bénéfices économiques et environnementaux d'une adaptation de l'octroi de mer visant à favoriser l'économie circulaire locale.