J'entends ce que vous dites, mais sur le terrain, il existe bel et bien des difficultés liées aux valeurs très importantes des patrimoines concernés – je précise qu'il ne s'agit pas que des exploitations viticoles – et, dans certains cas, il n'existe aucune solution de nature à permettre que ces patrimoines restent entre les mains de propriétaires français : de plus en plus souvent, ce sont des fonds étrangers qui viennent acquérir nos exploitations agricoles, ce qui me semble tout à fait regrettable.