Monsieur le commissaire, vous avez épinglé récemment la France et plusieurs autres pays pour n'avoir pas, malgré une conjoncture très favorable, respecté leurs engagements budgétaires vis-à-vis de l'Union européenne. Concernant les taux directeurs, quelles seraient les conséquences pour la France de leur augmentation ne serait-ce que d'un demi-point ? Quels pourraient être les deux ou trois champs d'économie prioritaire du budget français et comment continuer d'évoluer avec une dépense sociale beaucoup plus lourde que celle de nos partenaires européens ? Enfin, compte tenu du Brexit, comment maintenir un budget constant pour la politique de la PAC, capitale pour nos agriculteurs ?