Juste une petite précision. Vous évoquiez le fait que sur certains produits chimiques très volatils, les seuls publics sur lesquels cela pourrait avoir un impact étaient finalement celles et ceux qui ont été les plus proches du terrain : les sapeurs-pompiers, éventuellement quelques salariés et pourquoi pas aussi quelques riverains qui n'ont pas bougé de la zone.
Avez-vous prévu un suivi épidémiologique spécifique pour les sapeurs-pompiers ? Parce que c'est un public très particulier, plus à risque que la population générale.