Parmi les hypothèses que l'on entend, il y a celle qui consiste à considérer qu'en définitive, pour limiter le risque, la solution pourrait être de limiter les volumes présents sur un site. Cela éviterait d'avoir, comme cela a été le cas à Rouen, presque deux fois 5 000 tonnes de produits qui brûlent. Que pensez-vous d'une telle limitation ? Quel impact pourrait-elle avoir, notamment en termes d'éclatement sur d'autres sites ?