Monsieur le président Woerth, j'ai toujours dit – je ne change pas de discours – que j'étais attaché à l'équilibre du système de retraite, qu'il devait être garanti, et que j'étais ouvert au dialogue avec les organisations syndicales et patronales, ainsi qu'à toute proposition de leur part permettant de revenir à l'équilibre et de garantir l'équilibre futur.