Une année qui serait enfin placée sous le signe du dialogue et de l'écoute.
Une année où vous prendriez enfin en considération les difficultés des territoires ruraux et frontaliers, qui sont pénalisés par vos baisses de dotations. À titre d'exemple, monsieur le Premier ministre, le conseil départemental des Ardennes a perdu 5 millions d'euros depuis votre arrivée au pouvoir.
Une année où vous iriez à la rencontre des personnels des établissements hospitaliers et des maisons de retraite, qui n'en peuvent plus, notamment à cause de vos coupes budgétaires.
Une année où vous ne fermeriez plus de services publics, de trésoreries, de classes, voire d'écoles.
Une année où vous seriez mobilisé aux côtés des retraités et des familles, dont le pouvoir d'achat n'a fait que baisser depuis 2017.