Je ne partage pas votre point de vue sur cette disposition qui a été introduite sur l'initiative de la commission des Affaires culturelles et de l'éducation en première lecture. Elle revêt vraiment une dimension éducative et participe à la mission générale de prévention de la haine en ligne, à laquelle doivent contribuer les grandes plateformes. Le libre arbitre des parents et des mineurs n'est pas remis en cause, dans la mesure où il s'agit seulement d'une information et d'une sensibilisation.