Monsieur le Premier ministre, je vous remercie de m'avoir répondu car c'est un débat important qui agite l'ensemble du pays. Vous ne prenez pas la mesure de la situation. Vous êtes responsable de l'état de tension que vous venez de décrire et qui perdure. La démocratie, ce n'est pas un thermomètre qu'on utilise une fois tous les cinq ans, ce n'est pas un chèque en blanc qu'on donne.