Ils accusèrent les riches de les voler mais aussi de détruire les générations à venir : l'air devenait irrespirable, les espèces s'éteignaient peu à peu, le plastique remplaçait les poissons, les eaux envahissaient les habitations et les fortes chaleurs se multipliaient.
Les riches prirent peur, ils allèrent voir leur ami le président Macron. Ce dernier donna des ordres à ses conseillers pour briser les révoltes. Ils tentèrent la force : vingt-cinq personnes perdirent leurs yeux, certaines leurs mains ; ils blessèrent des milliers d'hommes et de femmes ; ils embastillèrent – mais rien n'y fit.