Il ne faudrait pas, monsieur le président Chassaigne, que, lorsque les sondages semblent – j'insiste sur ce verbe, car je les lis toujours avec beaucoup de prudence, ayant été instruit par l'expérience – vous donner raison, vous leur accordiez votre attention, alors que, quand ce n'est pas le cas, vous en fassiez fi au nom de vos positions.
Monsieur le président Chassaigne, nous nous sommes engagés à mener cette réforme, qui est bonne. Elle sera, je ne suis pas le seul à l'annoncer, massivement redistributive,