Nous nous posons là une fausse question. Nous prévoyons de retirer l'obligation d'aider, mais rien n'empêche celui qui veut tout de même soutenir son parent de le faire. Le cas de Mme Sauvage est éloquent ! Imaginons que le principe d'automaticité ait existé à l'époque et que ses descendants aient été exonérés juridiquement de leur devoir. Rien ne les aurait empêchés, par solidarité, de continuer à aider leur mère. Nous nous posons une question qui, dans les faits, n'a pas lieu d'être.