… lesquelles déclarent tous que ces femmes sont déjà sous l'emprise d'un mari violent et que leur avenir ne peut pas être entre les mains d'un médecin qui déciderait autoritairement de procéder à un signalement.
J'entends bien que certains médecins revendiquent parfois la possibilité de ne pas constater des traces de violences chez une femme et que d'autres regrettent de ne pas pouvoir les signaler, mais ce qui doit nous intéresser, c'est le résultat de ce signalement, c'est-à-dire les suites qui lui seront données.