La question, monsieur le ministre, est de savoir pourquoi on ne vous a pas entendu sur la politique du chiffre. Vous savez qu'elle a toujours cours dans votre ministère, qu'elle fixe les primes pour un certain nombre d'agents. En est-ce fini de cette politique ?
Pourquoi ne parle-t-on pas dans ce document du rapprochement entre la police et la population, qui devrait pourtant être notre boussole en matière de sécurité du quotidien ?