Ainsi, à titre d'exemple, notre coopération en matière de francophonie s'honorerait à être moins étatique et à faire entrer dans la modernité la gouvernance de nos établissement d'enseignement français à l'étranger. Comme l'a si bien dit le président ghanéen, « ce n'est pas juste qu'un pays comme le Ghana, soixante ans après son indépendance, continue à définir son budget de l'éducation et de la santé sur la base de financements provenant du contribuable européen. » Trop souvent, nous autres Occidentaux avions tendance à aimer l'Afrique, mais pas les Africains. Or, aujourd'hui, les nouvelles générations veulent se responsabiliser et prendre leur destin en main.