La succession des interventions de M. Cherpion et des membres de La France insoumise me conforte dans l'idée que nous avons une position équilibrée. M. Cherpion nous reproche d'étatiser le système – un de ses collègues, l'autre jour, m'avait dit qu'on réinventait le Komintern. De son côté, M. Quatennens considère qu'on privatise, qu'on favorise les plus riches et qu'on va développer les systèmes par capitalisation. Je me dis qu'on se trouve dans un juste milieu, ce qui est l'objet de mon engagement politique.