Les investissements ont été réalisés dans les années 2016 et 2017.
Trente millions ont ainsi été investis au titre du plan exceptionnel de lutte antiterroriste et du plan d'action contre la radicalisation et le terrorisme. Aujourd'hui le programme 216 comprend les crédits qui permettent d'assurer la maintenance en condition opérationnelle des investissements réalisés dans le cadre de ces plans, soit 7,7 millions d'euros. Il n'y a donc pas lieu de procéder au redéploiement proposé par l'amendement, dans la mesure où ces crédits permettent d'assurer la maintenance des systèmes d'information existants. Au demeurant, réduire de 16 % les crédits destinés au fonctionnement des préfectures leur serait préjudiciable.
Vous voyez, madame Rabault, que la phase d'investissement est terminée et qu'on en est au fonctionnement.