Le programme 134 Développement des entreprises et régulations pose un vrai problème de cohérence. Je salue les premiers efforts pour le résoudre : nous sommes passés de 13 à 8 actions en 2020. Pour autant, la question se pose de la porosité entre les programmes : d'un côté, nous baissons les charges des entreprises et, de l'autre, nous les aidons dans leur développement – je pense notamment au programme 305 Stratégie économique et fiscale. En un mot, les effets d'un programme influencent directement les résultats de l'autre. Comment mieux prendre en compte la porosité de ces programmes afin de mieux analyser leur performance ? Par ailleurs, la question du tourisme reste un serpent de mer. Quelle vision avez-vous de ce secteur qui est encore, pour partie, dans le programme 134 mais qui, il me semble, n'a pas vocation à y rester même à titre résiduel ? Peut-on espérer que ce programme 134 soit modifié en ce sens avant la fin de la législature ?