Madame la présidente, vous dites que nos supporters vous auraient accusée d'être un censeur. Sachez qu'on ne choisit pas forcément ses supporters. Pour faire partie depuis deux ans et demi de cette commission, je sais que l'on peut y prendre la parole. Le bureau a décidé, bien malgré nous, que l'on ne pourrait disposer que d'une minute pour défendre un amendement – nous aurions préféré deux minutes. Ce n'est pas vous qui avez fait ce choix. Je tiens à vous dire que je suis assez choquée que l'on puisse vous insulter de la sorte.