Cet amendement, vous le connaissez bien, puisqu'il vise à substituer au mot « universel » le mot « inéquitable », à l'alinéa 18 de l'article 6. Je ne lâche pas l'affaire, parce que je suis toujours aussi convaincu du bien-fondé de cet amendement.
Je vous rappelle que nous vivons aujourd'hui une nouvelle journée de mobilisation, marquée par de grandes manifestations, à Paris, où elle se poursuit, mais aussi à Marseille, ce matin. C'est la preuve que votre projet ne passe pas : vous devriez écouter le refus qui s'exprime en dehors de cette enceinte – et dont je me fais le porte-voix.
Votre texte suscite un rejet massif et les réponses que vous apportez ne lèvent ni les inquiétudes, ni la volonté de le voir retiré. J'insiste sur l'importance de ce qui est en train de se passer en dehors de ces murs.