Vous évoquez peu le risque bactériologique et le risque chimique. Nous avons malheureusement vu en Syrie que deux des belligérants ont utilisé des armes de ce type. Nous savons que des pays comme la Corée du Nord mènent des recherches en la matière. Ne s'agit-il pas d'une question importante à traiter dans les années à venir tant pour la sécurité du combattant sur le champ de bataille que pour celle des populations, loin du champ de bataille ? À ce titre, toute la population française est concernée.