Je tiens à vous faire partager mon émotion et à remercier, simplement, le collectif des victimes du 5 mai 1992, pour le combat qu'il a mené pendant des années – il est ici, dans les tribunes. Je remercie également la ministre pour ses propos. Enfin, je vous remercie tous pour votre contribution au débat et pour la dignité dont vous avez fait preuve. J'ai une pensée, à cet instant, pour ceux qui ne sont plus, pour ceux qui ont souffert et ceux qui continuent de souffrir dans leur chair, dans leur âme.
Le sport n'est pas que performances physiques, techniques, c'est aussi autre chose : c'est la solidarité, la dignité, la fraternité, autant de principes que nous partageons, défendons et qui sous-tendent cette proposition de loi.