Si nous voulons que le new deal mobile ne soit pas un échec, la pression exercée sur les opérateurs doit être réelle. Le délai de douze mois, qui s'impose si la commune met un terrain viabilisé à la disposition des opérateurs, ne peut faire l'objet de la moindre concession. Il y va de la crédibilité du new deal.
Avant de conclure mon propos, j'aimerais vous alerter, monsieur le ministre, au sujet de l'état du réseau de téléphonie fixe. Dans mon département, en Ardèche, c'est un naufrage.