Cet amendement va dans le même sens que le no 14 rectifié, et sa rédaction en est très proche. Comme vient de le rappeler excellemment Marc Le Fur, l'objectif est de faire en sorte que l'immersion soit pleinement reconnue. Certains des inspecteurs pédagogiques avec lesquels nous échangeons laissent percer des réticences à donner toute sa place à cet enseignement, dont on sait pourtant que les résultats sont extraordinaires. On l'oublie souvent : non seulement il n'a pas d'incidence fâcheuse sur l'enseignement du français, mais, bien au contraire, les élèves concernés allient une très bonne maîtrise de leur langue régionale à une excellente maîtrise du français. C'est ce qui fait la pertinence de ces amendements.