Face à ces défaillances, l'État s'est montré plutôt réactif, avant même que nous n'arrivions aux responsabilités, et je ne pense pas que l'on puisse l'accuser d'avoir été « complice de cette turpitude ». Depuis 2016, toutes les mesures ont été prises pour mettre un terme aux dysfonctionnements constatés – un défaut d'information et de communication systématique du numéro de sécurité sociale a empêché l'appel des cotisations – et les artistes auteurs se sont vus proposer de racheter des droits. Les choses sont rentrées dans l'ordre et je me tiens à votre disposition pour échanger dans le détail sur cette question.