Monsieur Coquerel, s'il est une usine à gaz, c'est bien le système actuel : j'en veux pour preuve les dysfonctionnements qui ont frappé le régime des artistes-auteurs et que vous vous êtes attachés à relever. Par ailleurs, la prise en charge des cotisations patronales par le budget du ministère de la culture, plutôt que par les autres assurés, est le reflet d'une politique culturelle ambitieuse. Enfin, madame Taurine, nous ne nous immisçons pas dans l'organisation des cultes, nous tenons compte de la réalité des revenus des ministres des cultes, très modestes, en maintenant l'assiette forfaitaire au SMIC.