Je suis désolée de le dire, monsieur le rapporteur, mais je pense que vous n'avez absolument pas clos le débat. Je vais réitérer ma question en utilisant d'autres mots. Vous ne contestez pas le fait que le texte vise à aligner le taux prévu dans la fonction publique sur celui du secteur privé. Sommes-nous bien d'accord ? Le taux de cotisation ou de contribution – peu importe le terme – sera de 17 %. Vous nous dites que pour le reste, c'est-à-dire la différence entre le taux actuel, de 74 %, et le taux de 17 %, on n'a qu'à croire en la parole de l'État. Pourquoi ne pas graver dans le marbre de la loi qu'on restera, en réalité, à 74 % ? Il y a quelque chose qui ne tourne pas rond.