Monsieur le rapporteur, ma crainte est précisément que cette réforme ne vaille rien, si d'aventure l'anomalie qui, depuis des années, fait que des contribuables paient la retraite de certains de nos compatriotes venait à perdurer. Je présume que l'esprit de votre réforme c'est de créer un système universel dans lequel les Français soient sur un pied d'égalité et que l'impôt ne serve plus à financer la retraite de certains. Cependant, votre réponse me fait douter de votre motivation, alors que c'est un point sur lequel, même si nous contestons le calendrier et les dispositions de la réforme, nous sommes totalement d'accord avec vous.